23 octobre 2017

Dominic Chamberland - dchamberland@lexismedia.ca

Partager sur les réseaux sociaux

©Photo – Gracieuseté

«À 55 ans, je crois avoir une certaine expérience de vie qui peut aider mon milieu et la municipalité, affirme-t-il. J’ai quelques idées en tête qui pourraient peut-être peser dans la balance, comme pousser le développement domiciliaire dans le secteur du chemin des Scouts. Je voudrais aussi promouvoir l’emploi, si nous sommes capables d’obtenir des terrains à prix abordables (pour y faire de la construction).»

L’état des chemins et de sentiers, la propreté de certains lieux et la circulation figurent parmi les autres préoccupations de M. Bernier.

«Il y a des chemins à arranger et des endroits à nettoyer, comme celui entre le boulevard Barrette et le chemin Baie-Carrière. C’est à se demander ce qui se passe là, souligne-t-il. J’aimerais aussi repenser les limites de vitesse sur Baie-Carrière, car ça roule beaucoup trop vite; il faut presque marcher dans le milieu du chemin pour que les autos ralentissent!»

Prendre soin du quartier

Père de quatre enfants qui sont tous adultes, Marc Bernier est originaire de St-Eustache, vit en Abitibi depuis une trentaine d’années et habite dans le quartier Lemoine/Baie-Carrière depuis sept ans.

Il n’en est pas à ses premières armes en politique municipale, lui qui a été conseiller à Senneterre-Paroisse durant deux ans (1998 à 2000). Un ancien du ministère des Transports et ex-directeur chez Fenomax, M. Bernier est aujourd’hui à l’emploi de Vego.

«J’avais été élu par acclamation à Senneterre-Paroisse. Je voudrais maintenant apporter mon expérience de gestionnaire à la Ville de Val-d’Or et aux citoyens. J’aime le quartier Lemoine/Baie-Carrière; il s’agit d’en prendre soin», raconte-t-il.

Pour la fin

Si Lisyane Morin et Annie Gareau, ses deux rivales pour obtenir le siège du quartier Lemoine/Baie-Carrière au conseil municipal, ont entrepris leur campagne électorale et leur tournée du district depuis un certain temps déjà, Marc Bernier n’avait pas encore fait de porte-à-porte au moment d’écrire ces lignes (la semaine dernière). «Je garde ça pour la fin», signalait-il.