14 mars 2018

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©L'Écho abitibien/Le Citoyen - Martin Guindon

L'entreprise valdorienne loue un espace d'environ 2000 pieds carrés dans l'ancien local d'Intersport, sur la 1^re Avenue Ouest. La salle à manger offrira de 40 à 45 places assises.

On a fait des festivals à Amos durant les derniers étés avec notre Habaneros Mobile et on sait que les gens aiment nos produits -Renaud Alexandre

«Amos était un choix logique pour nous, alors qu'on veut d'abord se concentrer sur notre développement ici dans la région. On sait que c'est attendu. Les gens nous en parlent beaucoup», explique le président Renaud Alexandre, qui vient combler une offre quasi-inexistante au niveau des mets mexicains.

«On travaille beaucoup avec les jeunes, les étudiants. On les prend en début de cheminement. Notre gérante est déjà ici avec nous à Val-d'Or. On va partir avec une bonne base», estime M. Alexandre.

Ce dernier ne s'est pas avancé sur la date d'ouverture du restaurant, se limitant au printemps. «Nous allons l'annoncer sur notre page Facebook environ deux semaines avant l'ouverture», confie-t-il.

Fini les franchises

Par ailleurs, s'il souhaitait implanter des franchises un peu partout au Québec en 2015, avec l'ouverture de celle à Sherbrooke, le président d'Habaneros a changé son fusil d'épaule depuis.

«On a exploré cette avenue et ça n'a pas vraiment fonctionné. Alors, tous nos emplacements sont maintenant corporatifs, même celui de Sherbrooke. Nous en avons deux à Val-d'Or, une à Rouyn-Noranda et celui de Sherbrooke. Amos deviendra notre cinquième restaurant», précise Renaud Alexandre, qui a fondé son entreprise en février 2014.

Une formule qui fonctionne

Pour le reste, rien n'a changé. Habaneros Grill Mexicain continue de miser sur sa formule de restauration rapide avec une valeur ajoutée.

«On veut demeurer à l'avant-garde et continuer d'innover. C'est de la restauration rapide, mais de qualité. On priorise les produits locaux et régionaux, les viandes d'élevage naturel et on n'utilise aucun produit congelé. Tout est cuisiné sur place. On cherche aussi à diminuer notre empreinte écologique», rappelle le président.