16 octobre 2018

Partager sur les réseaux sociaux

©Marc-André Landry - Le Citoyen Val d'Or - Amos

Isabelle Benoît, directrice des ressources humaines, des communications et des affaires juridiques au CISSSAT, ainsi que Sophie Germain-Lacroix et Édith Beaudet, du comité de mobilisation de la Vallée-de-l’Or.

Dans cette ère où les médias sociaux sont rois et où il est de plus en plus facile de critiquer sur la place publique, ce projet mis en place par le Centre intégré de la santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue vise à promouvoir le dévouement et la passion des employés du réseau.

«Il se fait beaucoup de bons coups dans l’organisation, mais malheureusement, ils passent souvent inaperçus et ils méritent pourtant d’être soulignés. On sait à quel point cette reconnaissance directe peut faire du bien aux employés. C’est un moyen de garder nos gens mobilisés et motivés, dans un contexte difficile», explique Isabelle Benoît, directrice des ressources humaines, des communications et des affaires juridiques au CISSSAT.

Le projet-pilote mis sur pied à Val-d’Or découle d’une idée d’Édith Beaudet et de Sophie Germain-Lacroix, deux membres du comité local de mobilisation implanté en décembre 2017.

L’idée est de guider les usagers du réseau vers les affiches «Dire merci, c’est gratuit!» apposées dans les entrées principales de sept installations à Val-d’Or, dont l’hôpital, le CLSC et le GMF. Les gens y trouveront des cartes de reconnaissance qu’ils pourront remettre directement aux employés ou aux équipes, afin de souligner leur humanisme, leur écoute, leur disponibilité, leur professionnalisme ou leur bonne humeur.

«Les gens peuvent aussi ajouter un message personnalisé au dos de la carte ou encore avoir le lien vers le site internet, s’ils désirent composer un message plus élaboré. C’est le genre de petites actions qui peuvent faire toute la différence pour la mobilisation des employés», souligne Mme Beaudet. 

Selon les résultats et les commentaires, le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue pourrait élargir ce projet à l’ensemble des installations de le MRC, puis sur tout le territoire de l’Abitibi-Témiscamingue.