14 novembre 2018

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©gracieuseté - Marie-Josée Théberge

C’est à tout le moins l’avis de l’entraîneure Marie-Ève Laprise, qui entame sa quatrième saison derrière le banc de l’équipe. En évoluant en section 3 dans la nouvelle mouture de la ligue provinciale, la formation amossoise se mesurera à des équipes de son calibre pour au moins 9 de ses 14 parties.

«On a une belle équipe qui offre beaucoup de vitesse. Les filles sont dynamiques et intenses. En défensive, elles sont aussi capables de belles choses. Notre objectif cette saison, c’est de faire les séries éliminatoires», résume celle qui sera épaulée dans son travail par Marie-Ève Noël et Caroline Thivierge.

Les cadettes n’ont pas remporté la victoire au Tournoi pré-saison des Diablos à Trois-Rivières, mais elles ont joué d’excellents matchs. «On a joué de très bons matchs. On a perdu par un point contre Arvida, qui joue en section 2. On est vraiment satisfaites des performances des filles en fin de semaine», souligne Marie-Ève Laprise.

Deux vétérans

Le Kodiak comptera notamment sur le retour de deux joueuses de l’an dernier: Aurélie Fortin et Ophélie Godbout. Elles connaissent donc bien la vitesse d’exécution nécessaire en division 1. L’équipe a aussi recruté Maïa Lambert de Rouyn-Noranda et Géraldine Sarrasin de Val-d’Or.

«La taille de Maïa va beaucoup nous aider au rebond et pour jouer les grandes joueuses des autres équipes. Géraldine amène de la vitesse comme monteuse de balle et elle est très difficile à arrêter», fait valoir Marie-Ève Laprise.

Trois filles de 3e secondaire et trois autres de 2e secondaire viennent compléter l’alignement de 10 joueuses.

Programme double

Les cadettes donneront le coup d’envoi de leur saison avec un programme double à domicile face au Laser de l’école secondaire De Rochebelle (Québec). Les équipes croiseront le fer le vendredi 16 novembre à 19h, puis le lendemain à midi. Le Kodiak jouera ensuite sur la route du 23 au 25 novembre.

«On a hâte de commencer. On a joué déjà plusieurs parties hors-concours. Les filles absorbent bien ce qu’on leur dit et mettent en pratique ce qu’on leur enseigne», conclut Marie-Ève Laprise.