Mobilisation espoir jeunesse mise sur Réal Béland

L’événement aura lieu le 8 mars prochain, dès 20h, à la salle Olympia de l’Hôtel des Eskers d’Amos. Les billets sont en prévente au coût de 35 $ au Shell de la rue Principale, à l’Hôtel des Eskers, au bureau de MEJ et en ligne au www.mej-abitibi.com. Ils seront 40 $ à la porte le soir du spectacle.

«Notre campagne de financement débute officiellement le 1er janvier, mais puisqu’il peut s’agir d’une excellente idée de cadeau pour les Fêtes, on devance la prévente des billets», explique Cindy Chalifoux, directrice générale de Mobilisation espoir jeunesse.

Financement important

Le spectacle-bénéfice représente une importante activité de financement pour l’organisme. Mobilisation espoir jeunesse doit trouver environ 50 % de son financement dans la communauté. L’autre part provient de l’Entente spécifique des jeunes en milieu rural (25 %) et du Programme de soutien aux organismes communautaires (25 %) du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue.

«Mobilisation espoir jeunesse bénéficie aussi d’un soutien financier de Centraide Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec afin de réaliser sa mission. Nous tenons à remercier Centraide de croire en nous. Nous rappelons à la population que Centraide est actuellement en campagne de financement et qu’il vient en aide à une soixantaine d’organismes», précise la présidente Louise Morin.

Animer les jeunes

Fondé en 1994, Mobilisation espoir jeunesse a pour objectif d’assurer une animation de qualité et des activités pour les jeunes de 10 à 17 ans dans les municipalités rurales de la MRC Abitibi. Les actions de l’organisme sont guidées par trois axes: la prévention des dépendances, la promotion des saines habitudes de vie et l’incitation à la participation citoyenne.

«Nous avons des ententes avec une quinzaine de municipalités. Cinq (Barraute, La Motte, Launay, Pikogan et Saint-Marc-de-Figuery) d’entre elles reçoivent une subvention pour un animateur ou une animatrice qu’on va encadrer avec une ressource en animation. D’autres nous supportent et peuvent bénéficier de notre matériel», souligne Cindy Chalifoux.

Deux municipalités (Sainte-Gertrude et Trécesson) font quant à elles partie d’un projet pilote qui vise à embaucher en janvier une ressource en animation. Celle-ci utilisera un local prêté par la municipalité, qui fournira aussi un bénévole.