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17 juillet 2018

Affichage commercial: Lucien Mirault veut un nouveau règlement

Lucien Mirault

©Sophie Rouillard

Lucien Mirault, propriétaire du Groupe Mirault, estime qu’il ne devrait pas avoir à payer pour une deuxième affiche.

MUNICIPAL. Le propriétaire de la Place Mirault, Lucien Mirault, déplore que le règlement municipal de Val-d'Or l’oblige à installer un deuxième panneau d’affichage pour le futur centre commercial, alors qu’une enseigne lumineuse est déjà en place.

Bien qu’une affiche lumineuse annonce le commerce, le règlement municipal veut qu’une pancarte traditionnelle (sans éclairage) de la même taille soit installée. 

«Dans notre cas, on demande d’avoir seulement une affiche électronique, explique Lucien Mirault. On ne voit pas la nécessité d’en avoir une deuxième, puisque la première fait le travail.» 

M. Mirault explique que cela fait six mois que son entreprise travaille sur les enseignes du futur centre commercial. 

«Ça représente des frais de plus qui ne sont pas nécessaires», ajoute-t-il. 

Du côté de la Ville de Val-d'Or, on ne voit pas l’utilité de changer ce règlement. 

«C’est comme s’il fallait modifier les règles d’affichage aux six mois, lance pour sa part le maire Pierre Corbeil. Le fait qu’on modifie ce règlement sur une base presque annuelle, ça veut dire qu’on est sensibles aux représentations des commerçants. Il y en a qui ont des reproches à faire, et nous en avons d’autres qui sont satisfaits. Il faut en prendre et en laisser.» 

De plus, Lucien Mirault réclame la réforme du Comité consultatif d'urbanisme (CCU). 

«Je suis allé à la Chambre de commerce de Val-d’Or et personne n’avait été consulté par rapport aux changements des règlements de l’affichage électronique, déplore M. Mirault. Ça aurait été pertinent d’aller s’asseoir avec les membres de la Chambre, d’en discuter avec eux et d’élaborer une réglementation qui a du sens.» 

Ce même comité aurait, selon les dires de Lucien Mirault, envoyé une lettre à l’entrepreneur considérant sa requête comme un caprice et que ce dernier serait simplement de mauvaise foi. 

«Lorsqu’un entrepreneur fait ce genre de demande, ce n’est jamais par caprice, croit-il. Des mots de ce genre ne sont pas appropriés.» 

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