27 mai 2019

Pierre-Olivier Poulin - popoulin@medialo.ca

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©gracieuseté - Cindy Montambault

Cindy Montambault pendant une de ses descentes d’entraînement.

La Valdorienne a terminé l’épreuve en 1:38:32, près de 11 minutes derrière l’Américaine Kate Courtney. Un résultat qui n’est pas le plus satisfaisant aux dires de Montambault, mais elle croit que ses efforts en course et sa remise en forme vont dans la bonne direction. 

«Contrairement aux autres années, je monte beaucoup plus vite qu’avant, mais j’ai eu un manque de vitesse dans les sections qui descendaient, notamment dans les virages et les aspects techniques du parcours. J’avais de la difficulté à coordonner mes mouvements à très haute vitesse. Normalement, les montées sont ma faiblesse, mais j’étais en mesure de rattraper quelques filles en grimpant. Ma forme et mon mental étaient bons au cours des deux dernières courses alors je ne m’inquiète pas pour la suite. Je dois juste passer du temps sur le vélo et repousser mes limites en descente», a décortiqué Montambault, qui n’était pas éligible à l’épreuve de courte piste de vendredi étant donné que sa 41e place au général ne lui permettait pas de participer. Il faut savoir que seul le top 40 peut prendre part à cet événement. 

Retour au Québec 

Maintenant que les deux premières étapes de la Coupe du monde sont terminées, la Valdorienne courra en sol québécois pour débuter le mois de juin alors qu’elle s’est inscrite à deux compétitions de la Coupe Canada, soit les épreuves de Baie-St-Paul (1er juin) et de Sherbrooke (8 juin). 

«J’ai vraiment hâte de retourner courser à la maison, s’est exclamée la cycliste de montagne. Ça fait longtemps que je n’ai pas fait une course au Québec, excepté la Coupe du monde au Mont-Sainte-Anne». 

Son passage en sol québécois sera poursuivi par un camp d’entraînement en altitude dans le Vieux Continent pour se préparer en vue des courses de Vallnord en Andorre (5 au 8 juillet) et Des Gets en France (12 au 14 juillet).