19 août 2019

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©Sophie Rouillard - Le Citoyen Val d'Or - Amos

Plusieurs cowboys ont monté des chevaux sans selle lors de la soirée du rodéo du 17 août.

Le président du Festival estime que la renommée de l’événement grandit au fil des années, ce qui explique le nombre de participants qui s’ajoutent à toutes les éditions.

«Les gens nous connaissent de plus en plus, croit Yan Chabot. Notre réputation continue de se bâtir.»

Bien que M. Chabot n’avait pas de chiffres quant au nombre de festivaliers qui ont assisté aux différentes activités du Festival Western, il pouvait néanmoins affirmer que les spectateurs ont été plus nombreux que d’habitude dans plusieurs moments.

«Nous avons remarqué qu’il y avait plus de personnes cette année qui assistent à nos spectacles gratuits, par exemple, explique le président du Festival. On se force aussi de garder des prestations intéressantes et nouvelles lors des entractes des activités dans le Stade Osisko, pour éviter que les gens aient l’impression de voir la même chose chaque année.»

©Sophie Rouillard - Le Citoyen Val d'Or - Amos

Des centaines de personnes ont assisté au rodéo du samedi soir.

Être accessible

«Ce qui nous permet d’attirer toujours beaucoup de monde, c’est qu’on est un événement très accessible, juge Yan Chabot. Les gens peuvent entrer sur le site gratuitement. Plusieurs activités pour les enfants et pour les adultes le sont également. Ça aide beaucoup.»

Parmi les activités pour les petits, on compte le traditionnel conte avec le clown Moridicus, des jeux gonflables, des activités avec le café Malartic Ludique et du maquillage.

«Moridicus est un succès auprès des familles chaque année, souligne Yan Chabot. Je crois qu’on a une bonne formule gagnante et qu’il faut simplement la garder.»

©Sophie Rouillard - Le Citoyen Val d'Or - Amos

Plusieurs jeunes cowboys ont chevauché de jeunes taureaux fougueux.

Faire le plein d’adrénaline

Évidemment, le Festival Western de Malartic ne porterait pas son nom si ce n’était des courses de baril, du derby d’attelage, du tir de chevaux lourds ou, évidemment, des rodéos qui sont présentés au Stade Osisko.

«On a toujours plusieurs participants qui sont originaires de la région, précise Yan Chabot. Les rodéos, c’est quelque chose qui attire toujours beaucoup de monde, car c’est impressionnant. Les gens ressentent l’adrénaline des cowboys.»

©Sophie Rouillard - Le Citoyen Val d'Or - Amos

Noémy Coeurjoly a impressionné le public avec ses prouesses sur le dos de ses montures.