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20 septembre 2019

Dominic Chamberland - dchamberland@lexismedia.ca

Martin Ferron annonce un premier engagement

Début de campagne tranquille dans Abitibi - Baie James - Nunavik - Eeyou

Martin Ferron

©Photo - Archives/Dominic Chamberland

Martin Ferron, flanqué d’Alain Rayes, lieutenant du Parti conservateur au Québec.

Dans une campagne électorale plutôt tranquille au niveau régional jusqu'ici, Martin Ferron a annoncé un premier engagement jeudi.

Le candidat conservateur dans Abitibi – Baie James – Nunavik – Eeyou s’est engagé, s’il est élu au scrutin fédéral du 21 octobre, à travailler pour mettre fin aux dédoublements d’autorisations et de demandes de permis dans l’industrie minière.

Soulignant que le démarrage d’un projet minier exige en moyenne 650 permis et autorisations, il affirme que l’État doit en faire davantage pour faciliter la vie des entrepreneurs, et ce, tout en préservant des normes élevées pour la protection de l’environnement.

«Ça peut sembler anodin, mais cette réalité a un impact concret sur le développement de notre région et les emplois qui s’y rattachent, mentionne M. Ferron dans un communiqué. La réalité, c’est que nous avons deux importants moteurs économiques dans notre circonscription, les mines et la forêt. Pour protéger nos emplois et en créer de nouveaux, encore faut-il que les projets puissent aboutir», raconte-t-il.

Martin Ferron ajoute que l’industrie forestière fait constamment face à des droits de douanes américains qui nuisent à son développement et à sa compétitivité. «Un gouvernement conservateur aurait le leadership nécessaire pour régler cette question en étant respecté à l’international par ses partenaires qui, disons-le, n’ont pas été particulièrement impressionnés par les libéraux», soutient-il.

Maintenir l’élan économique

D’autre part, Martin Ferron prétend que le Parti conservateur est le seul à avoir une véritable considération pour le développement économique des régions.

Le candidat du chef Andrew Scheer estime que pour maintenir l’élan économique qui caractérise le comté, celui-ci est en droit de s’attendre à ce que son représentant à Ottawa défende les secteurs économiques qui procurent de bons emplois et une bonne qualité de vie à de nombreuses familles. «Personne, parmi mes adversaires, ne peut se targuer de comprendre les réalités des travailleurs comme je peux les comprendre, avance-t-il.

«J’ai côtoyé notre forêt comme agent de protection de la faune et je connais les véritables préoccupations pour la protection des habitats naturels. Je peux aussi témoigner de la réalité de nos professionnels qui travaillent dans les usines forestières et dans nos mines car j’y ai travaillé, fait valoir M. Ferron. Ces secteurs économiques sont importants pour nous et j’entends bien m’assurer de leur développement pour maintenir et créer de l’emploi pour notre monde», conclut-il.

 

LES CANDIDATS LOCAUX EN DÉBAT LE 1er OCTOBRE

D'autre part, les candidats aux élections fédérales dans Abitibi – Baie James – Nunavik – Eeyou ont été invités à prendre part à un débat organisé par la Chambre de commerce de Val-d’Or qui aura lieu le mardi 1er octobre, sur le coup de 19h, au Pavillon des Premiers Peuples de l’UQAT. L’événement sera gratuit et ouvert à toute la population.

Au moment d’écrire ces lignes, les organisateurs du débat n’avaient pas encore fait savoir quels candidats et quelles candidates allaient être de la partie parmi Isabelle Bergeron, du Parti libéral, Sylvie Bérubé, du Bloc québécois, Jacline Rouleau, du NPD, Martin Ferron, du Parti conservateur, Guillaume Lanouette, du Parti populaire du Canada, Kiara Cabana-Whiteley, du Parti vert, et Daniel Simons, du Parti marijuana.

 

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