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11 novembre 2019

Un projet de coworking sur la planche à dessin

Amos pourrait rejoindre le mouvement en 2020

Coworking espace travai partagé

©gracieuseté

La Centrale Coworking offrirait notamment des postes de travail dédiés dans une aire partagée, tel qu’illustré ici.

Amos pourrait rejoindre le mouvement des espaces de travail partagés, alors qu’un projet de coworking est actuellement sur la planche à dessin.

Le projet de La Centrale Coworking est piloté par Josyane Bolduc, Marlène Trottier et Edma-Annie Wheelhouse. Elles souhaitent mettre sur pied un organisme à but non lucratif qui aménagerait un espace de travail partagé dans l’Édifice Paré (angle de la Principale Sud et de la 1re Avenue Ouest), comme il en existe déjà à La Sarre, Rouyn-Noranda et Val-d’Or.

«Le projet est bien amorcé. On travaille sur le financement et on a déjà quelques partenaires. On a fait des sondages au cours des derniers mois. On sait qu’il y a une demande. On tient une séance d’information et de préadhésion, le mardi 12 novembre, afin de présenter le projet, trouver d’autres partenaires et recruter de futurs utilisateurs avant que tout soit fixé, afin qu’on puisse répondre à tous les besoins. Nous avons 20 places disponibles», explique Edma-Annie Wheelhouse.

Créer une communauté

Sous sa forme actuellement projetée, La Centrale Coworking serait aménagée dans les anciens locaux de Santé Forme. Ceux-ci seraient rénovés et réaménagés pour comporter des bureaux fermés, des postes de travail dédiés dans une aire partagée, des postes libre-accès, des salles de conférence modulables, mais aussi un espace lounge et une cuisine pour une ambiance conviviale.

«On ne veut pas de faire compétition à des installations déjà existantes, mais mettre en place une offre complémentaire» - Edma-Annie Wheelhouse

«L’idée c’est d’offrir d’abord un espace tout inclus, avec la base de ce qu’on a besoin pour travailler, mais aussi de favoriser les échanges et l’ouverture. Les gens pourraient partager des connaissances, des ressources, des expériences et des contacts. C’est aussi une occasion pour eux de sortir de chez eux», fait valoir Edma-Annie Wheelhouse.

Une offre complémentaire

Les travailleurs autonomes, mais aussi les entreprises qui ont besoin d’espaces pour accueillir temporairement un ou des travailleurs ou pour rencontrer des clients, et même des étudiants sont visés par La Centrale Coworking. «On ne veut pas de faire compétition à des installations déjà existantes, mais mettre en place une offre complémentaire. C’est le système de travail le plus en expansion en ce moment. On en compte plus de 80 au Québec», souligne Edma-Annie Wheelhouse.

L’objectif ultime pour le comité provisoire de La Centrale Coworking est d’attacher le financement et recruter les utilisateurs le plus rapidement possible, pour se lancer dans les travaux et rendre les espaces disponibles aussi tôt qu’en février 2020. Les personnes intéressées par le projet peuvent se rendre sur la page Facebook (@lacentralecoworking), se présenter à la séance du 12 novembre, qui aura lieu dès 17h à la suite 20 de l’Édifice Paré (12, 1re Avenue Ouest).

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