19 novembre 2019

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©Le Bulletin-Archives

Les équipes de Nez Rouge de la région ont effectué 2102 raccompagnements en 2018.

Cette année, les soirées du 29 et 30 novembre, 6 et 7 décembre, 13 et 14 décembre et les 20, 21 décembre. 

Toutefois, on ne comptera pas de raccompagnements les jeudis soirs, faute de bénévoles. 

«C’était difficile d’offrir nos services les jeudis en soirée, car les appels de raccompagnements débutent vers minuit et nos bénévoles travaillent le lendemain, explique Rachelle Guay, coordonnatrice pour l’Unité Domrémy, qui dirige les activités de Nez Rouge à Val-d’Or. Sans avoir suffisamment de bénévoles, on ne pouvait pas continuer.» 

Si l’Unité peine à recruter pour les jeudis soirs, l’organisme ne vit pas le même problème pour les deux autres soirées. 

«En général, les gens de la région sont prêts à nous aider et à faire leur part, souligne Mme Guay. En ce moment, c’est sûr que nous devons faire de la promotion pour inciter les gens à s’inscrire, mais je ne suis pas inquiète.» 

Il faut dire par contre que certains facteurs extérieurs peuvent parfois nuire au recrutement. 

«On est un peu dépendant de la température, croit la coordonnatrice de l’Unité Domrémy. S’il fait très froid ou qu’il y a une tempête, par exemple, c’est certain que ça peut compliquer les choses.» 

Notons que sur les 200 bénévoles qui participent chaque année à Nez Rouge, on compte plusieurs dizaines de jeunes. 

«On commence la prévention et la sensibilisation dès le secondaire 5 et ça les intéresse vraiment, assure Rachelle Guay. Ils ont hâte d’avoir 18 ans pour venir faire des raccompagnements. Sinon, en attendant, ils répondent aux appels.» 

Parmi les activités de sensibilisation, il y aura notamment la participation de l’équipe de Nez Rouge au match des Foreurs de Val-d’Or ce jeudi.