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25 août 2020

Dominic Chamberland - dchamberland@lexismedia.ca

Quinquagénaire accusé d’attouchement et de voyeurisme

Justice Val-d'Or

©Photo: Archives

Un Valdorien de 57 ans fait face à trois chefs d’accusation concernant une présumée affaire d’attouchement sexuel et de voyeurisme.

Le dossier revenait devant le tribunal lundi, au palais de justice de Val-d’Or. Représenté par Me Daniel Brière-Desfossés, l’accusé, dont nous tairons l’identité pour protéger l’anonymat de la présumée victime, a plaidé non coupable et subira son enquête préliminaire en mars 2021. Cette étape sert à déterminer si la preuve de la Couronne est suffisante pour justifier la tenue d’un procès.

Selon l’acte de dénonciation, le quinquagénaire est accusé d’avoir produit subrepticement (de façon furtive et discrète) un enregistrement visuel de la plaignante alors qu’elle se trouvait dans des circonstances pour lesquelles il existait une attente raisonnable de protection de sa vie privée.

L’individu est aussi accusé d’avoir touché à des fins sexuelles une partie du corps de la même présumée victime alors qu’elle était âgée de moins de 16 ans. S’ajoute à cela une accusation d’avoir touché l’adolescente à des fins sexuelles alors que l’homme était, vis-à-vis celle-ci, en situation d’autorité ou de confiance.

Ces accusations concernent des infractions présumées qui se seraient produites entre janvier 2013 et janvier 2018. Si l’accusé est déclaré coupable de ce qu’on lui reproche, il sera passible d’une peine variant d’un an à 14 ans de prison sur les chefs d’attouchement sexuel à l'endroit d'une personne de moins de 16 ans, et d’une peine maximale de cinq ans sur le chef de voyeurisme.

Le procès Bergeron débute

Dans un autre dossier de nature sexuelle, Jean-Marie Bergeron subit son procès aujourd’hui (mardi) et demain (mercredi), au palais de justice de Val-d’Or, devant le juge Jean Beaulieu, de la Cour du Québec.

Défendu par Me Francis Germain, l’homme de 67 ans offrant des services de massothérapie est accusé d’agression sexuelle à l’endroit de cinq personnes (dont l’une était d’âge mineur au moment des faits reprochés) concernant des infractions présumées qui, selon l’acte de dénonciation, seraient survenues entre janvier 2014 et juin 2019. Me Tania Bélanger représente la Couronne dans cette affaire qui avait défrayé la manchette l’an dernier.

Si l'accusé est déclaré coupable de ce qui lui est reproché, il sera passible d'une peine pouvant aller jusqu'à 10 ans d'emprisonnement pour chacun des chefs concernant les plaignantes adultes, et d'une peine pouvant aller jusqu'à 14 ans concernant la plaignante mineure.

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