24 février 2021

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©Photo pixabay.com

Dans sa publication quotidienne, le CISSS précise que la plupart de ces nouveaux cas étaient déjà en isolement. Cinq d’entre eux sont associés à une installation d’un centre de la petite enfance. L’éclosion actuelle ne toucherait qu’une seule bulle. Enfants et familles identifiées comme étant à risque modéré par la Santé publique sont en isolement depuis la fin de semaine. Le CPE doit quant à lui rouvrir son installation le jeudi 25 février.

Par ailleurs, un nouveau cas s’ajoute à l’école Sainte-Thérèse d’Amos. Il s’agit d’un contact déjà identifié du cas positif qui avait fréquenté l’établissement scolaire lors de sa période de contagiosité et il avait été placé en isolement préventif.

Ces 9 nouveaux cas portent à 638 le nombre de cas confirmés dans la région depuis le début de la deuxième vague (23 août). Le CISSS rapporte toutefois 596 cas rétablis et trois décès, ce qui veut dire qu’en dépit de cette poussée, la région compte seulement trois cas actifs de plus que la veille, soit 39. Ils sont tous situés dans la MRC Abitibi sauf un, qui est en Abitibi-Ouest. D’ailleurs, depuis le 13 février, 61 des 63 nouveaux cas ont été répertoriés dans la région d’Amos, par le biais de trois éclosions, soit une à Pikogan, une autre à l’école de Landrienne et maintenant dans un CPE.

La région compte toujours quatre personnes hospitalisées au centre régional désigné à Rouyn-Noranda, dont une à l’unité des soins intensifs.