Amos en pleine croissance

La rénovation et la construction se portent bien dans la ville

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Amos est en pleine croissance parce que les citoyens et les entrepreneurs ont misé sur les rénovations et la construction de bâtiments, malgré le contexte de pandémie.

Les rénovations et les constructions vont bon train à Amos. La Ville considère même être en pleine croissance, et se dit satisfaite de son année.

Réunis en conseil municipal le 20 septembre, les élus ont passé en revue les chiffres de la dernière année, et ceux-ci sont plutôt positifs, selon Sébastien D’Astous, maire d’Amos. «Nous, quand on considère la vigueur économique de notre ville, c’est le nombre de permis, c’est aussi la valeur des permis, et on essaie de comprendre et de voir à quel point la ville va prendre de la valeur, parce qu’on s’entend que la richesse foncière d’une municipalité, c’est aussi un indicateur des entrées de taxes futures», a-t-il mentionné.

En date de juillet 2021, par exemple, la Ville déclare avoir émis en tout 462 permis, pour une valeur totale de plus de 29 millions $. La plupart des permis concernaient des rénovations de bâtiments, de piscines et spas, ou encore la construction de bâtiments.

«C’est un indicateur de vigueur et on se rend compte que cette année est meilleure que l’an passé. C’est bon signe!» Sébastien D’Astous

En reprise économique

M. D’Astous informe que pendant la pandémie, la Ville d’Amos a décidé de mettre les bouchées doubles en lançant cinq chantiers et des travaux de rénovation. «On voulait être un acteur de développement économique, a signalé M. D’Astous.

«En même temps, comme il y a un peu moins d’activité, on estime que lorsque la ville est au ralentie parce que les gens sortent moins, à cause de la pandémie, on pensait que c’était un bon moment pour faire les travaux», a indiqué le maire D’Astous, qui considère qu’Amos est en pleine «reprise économique».

La municipalité, qui pensait sortir de la pandémie en mauvaise posture financière dans ce dossier, a plutôt un bilan positif. «On regarde tout le temps les comparables, on est dans des années un peu différentes parce qu’avec la pandémie, on s’attendait à un ralentissement économique, s’est étonné Sébastien D’Astous. Ça reste que c’est un indicateur de vigueur et on se rend compte que cette année est meilleure que l’an passé. C’est bon signe!»

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