02 décembre 2021

Pierre-Olivier Poulin - popoulin@medialo.ca

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©gracieuseté

La Maison de la famille de Val-d'Or a été inaugurée, lundi soir.

Maintenant située sur la 6e Rue, tout près du parc Bérard, la Maison de la Famille a organisé une journée portes ouvertes, lundi soir, afin de remercier les partenaires présents dans l’aventure.   

Pouvant accueillir des dizaines de personnes dans son enceinte pour différents ateliers ou services souvent gratuits, l’installation a ajouté un parc extérieur clôturé et une salle de motricité qui permettront aux parents d’amener leurs enfants pendant les heures d’ouverture. Des bureaux locatifs seront également construits au premier étage afin de diminuer le coût des logements. 

Concernant l’argent amassé en campagne de financement au cours des derniers mois, la directrice générale de la Maison de la Famille de Val-d’Or, Julie Frappier, affirme que le tout représente un énorme vote de confiance de la part de ses concitoyens et du milieu corporatif. 

«Ça vient nous dire que la Maison de la Famille est importante pour la communauté valdorienne et que les gens se préoccupent des familles. C’est vraiment une belle solidarité et on se sent apprécié», exprime-t-elle. 

Concernant la fameuse marque de 350 000 $, l’objectif final a été atteint à une hauteur de 96%, ce qui représente une proportion réussie pour la directrice générale. «On pourrait se rendre jusqu’à 350 000 $ et ça ferait notre bonheur. Dans notre cœur, on considère avoir réussi en rassemblant autant de gens et de solidarité autour de ce projet-là», réitère Mme Frappier. 

Rénovations à compléter 

Même si plusieurs partenaires ont pu visiter les lieux lors des portes ouvertes, quelques petits détails restent encore à fignoler pour que la Maison de la Famille puisse être totalement opérationnelle. La réfection du plafond, des travaux de peinture et le réaménagement de certaines pièces sont au menu pour les prochaines semaines.  

De plus, dépendamment de l’implantation d’un futur partenaire ou non dans un des bureaux à louer, d’autres besoins pourraient s’ajouter.  

«Il ne reste que les travaux du premier étage à terminer. L’argent a également servi pour le déménagement. S’il reste des sous, c’est certain qu’on va s’en mettre de côté pour les imprévus. On ne sait jamais ce qui peut arriver quand on est propriétaire. Ça demeure quand même une vieille bâtisse. Ce sera un petit coussin», signale Mme Frappier. 

Cette dernière aimerait que les travaux à l’étage du haut se terminent au mois de mars, et à l’été pour l’entièreté de l’endroit.