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16 novembre 2022

Hugo Saez - hsaez@medialo.ca

Benjamin Brunelle a trouvé sa place dans la meute

Boute-en-train de l’équipe

Benjamin Brunelle

©Photo Le Citoyen - Hugo Saez

Admiratif de l’Américano-mexicain Auston Matthews pour sa manière de scorer des buts, il arrive que Benjamin Brunelle se pratique également au golf notamment.

Pure production des Estacades, Benjamin Brunelle avait déjà fait quelques apparitions en LHJMQ sous l’uniforme des Huskies lors de la saison passée. Un athlète sérieux et pleinement investi sur la glace, qui n’hésite pas à lâcher prise dès qu’il enlève les patins.

Sa côte C qui lui a été attribuée sur la première liste établie par la Centrale de recrutement LNH n’est pas un hasard. Cette saison, Benjamin Brunelle semble avoir tout à fait franchi un cap dans sa carrière d’hockeyeur. En effet, l’attaquant trifluvien s’est peu à peu imposé comme un élément important au sein du plan de jeu souhaité et instauré par Brad Yetman, le tacticien de la meute. Sa verticalité (6’03’’) fait de lui le troisième plus grand joueur des Huskies, derrière Jakub Hujer (6’04’’) et Emeric Gaudet (6’05’’). Il s’agit là d’un atout offensif physique de taille dans son hockey, qui lui permet de contrecarrer les plans des défenses adverses. Son prochain voyage, sa personnalité ou encore son meilleur ami chez les Huskies : le joueur de 17 ans s’est lui aussi prêté au jeu des questions-réponses. 

Si tu devais te décrire en quelques mots… 

Je suis un peu « goofy » comme on dit en anglais. J’aime avoir du fun mais je peux aussi être sérieux quand il le faut. Je suis un bon mélange des deux. 

Par ton attitude et ta façon de jouer sur la glace, quel est le joueur de hockey auquel tu t’identifies le plus ? 

Je dirais Juraj Slafkovsky, le joueur des Canadiens. J’essaye de m’inspirer de son style, il a de bons attributs offensifs aussi. 

Quelles sont tes études en parallèle de ton sport et comment envisages-tu ta carrière professionnelle après le hockey ? 

Je fais un grade 12 en ligne avec l’école de l’Ontario. J’ai du commerce, des mathématiques et de l’anglais en ce moment. Après, peut-être que j’irai plus en finances. Ou peut-être partir en affaires avec mon frère ou avec quelques amis proches. Mais je ne sais pas encore, pour le moment je joue au hockey. 

Quelle est la chose qui t’as le plus surpris à ton arrivée dans la ville de Rouyn-Noranda ? 

Je dirais à quel point le monde est l’fun. Admettons que tu marches en ville, dans une grande ville, personne ne te salue. Alors qu’ici, le monde est sympathique et accueillant. 

Un mot sur les partisans des Huskies ? 

Les fans sont vraiment passionnés. On voit les petits enfants nous attendre sur le bord de la porte puis on les entend crier. C’est spécial, c’est comme la première fois qu’on a des vrais fans. C’était surtout nos parents avant et puis maintenant ce sont des gens que l’on ne connaît pas, c’est le fun. Tu veux les rendre fiers un peu, tu représentes la ville aussi donc tu veux rendre la ville et les partisans fiers. 

Quelle est ta routine d’avant-match ? 

Il y a d’abord la sieste d’avant-match. Je prends un bon repas préparé par notre monsieur de pension puis j’arrive à l’aréna. On joue un peu au ball game puis on fait l’activation avec Jo, mais rien de spécial. Je suis plus du genre à faire des blagues et à rigoler. Il ne faut pas trop que je pense, il faut juste que je joue ma game et que j’ais du fun. 

Dans le vestiaire de la meute, avec lequel de tes coéquipiers tu rigoles le plus ? 

Avec Verdon on est assis l’un à côté de l’autre, c’est un taquin (rires)! C’est mon meilleur ami dans l’équipe, on s’entend vraiment bien et on a bien du fun ensemble. 

Est-ce qu’il y a un endroit du globe vers lequel tu souhaites voyager ? Pourquoi ? 

Je vais sûrement partir en voyage cet été avec plusieurs de mes amis. Parce qu’on a toujours été ensemble pendant l’année mais là on a tous été séparés cette année. On va partir mais on ne sait pas encore où, sûrement quelque part aux États-Unis. Je n’y suis jamais allé donc on va se trouver une place. 

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