Une atmosphère électrique mise de l’avant pour le 44e Gala de l’Entreprise

©Pierre-Olivier Poulin - Le Citoyen Val d'Or - Amos

Pour une troisième année consécutive, la propriétaire de la franchise Saint-Hubert de Val-d’Or, Annie Gauthier (à gauche), sera la présidente d’honneur du Gala de l’Entreprise.

ENTREPRENEURIAT - L’électricité sera dans l’air pour le 44e Gala de l’Entreprise de la Chambre de commerce de Val-d’Or. L’organisme a officiellement lancé, vendredi, sa mise en candidature pour l’événement annuel, qui se tiendra le 20 avril, à l’Hôtel Forestel.

Souhaitant souligner l’esprit de corps et la force de connexion des entrepreneurs du pôle de Val-d’Or, la CCVD y va avec une thématique électrique intitulée «Branchés sur vos succès».

Au total, 18 prix seront remis au courant de la soirée, incluant l’honneur ultime de l’Entreprise de l’année. Deux d’entre eux subiront de légères modifications. Le prix Audace inclura aussi un volet «Innovation», tandis que la description du Filon Écoresponsable a été modifiée.

Pour la directrice générale de la CCVD, Hélène Paradis, cette 44e édition est orientée davantage vers toutes les tailles d’entreprises. De la jeune PME jusqu’à la grande minière, tout le monde peut y trouver son compte. Une vague qui continue après l’édition 2023, qui avait réuni plus d’une centaine de mises en candidature.

«Un entrepreneur m’a récemment demandé quand on lançait le gala, car son équipe avait besoin de ça. Il a eu une belle année et a une équipe soudée, et l’événement sert à reconnaître ce que ses employés font. Mettez ça dans votre CV corporatif», a-t-elle raconté.

Rappelons que le Groupe Poirier avait mis la main sur ce trophée en 2022, pour couronner les célébrations de leur 60e année d’existence.

Jamais deux, sans trois

La stabilité sera de mise pour ce 44e Gala de l’Entreprise. Présidente d’honneur de la remise de prix en 2022 et 2023, la propriétaire de la franchise St-Hubert, Annie Gauthier, remplira à nouveau les fonctions pour 2024.

Ancienne vainqueure par le passé, elle avait exprimé le souhait de revenir à la présidence d’honneur, puisque la première fois était aussi dans une formule différente, adaptée à la crise sanitaire qui frappait la planète.

«J’aime beaucoup le gala. Quand on est un entrepreneur qui est assis dans la salle, on a toujours la boule de nervosité. Être maintenant en avant et de pouvoir être avec eux, on ressent toutes les émotions. Quand le Groupe Beauséjour a été sacré l’entreprise de l’année en 2022, je pleurais avec eux autres, et ce ne sont pas des gens que je connais tant que ça. Ça permet de voir l’envers du décor», décrit Mme Gauthier.

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