La LUVO aura un éclairage complet pour ses terrains à l’école Saint-Joseph

Publié le 16 avr. 2024 (Mis à jour le 29 avr. 2025)
Lecture : 2 minutes

Pierre-Olivier Poulin

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ULTIMATE FRISBEE – Les terrains d’ultimate frisbee situés à l’école Saint-Joseph auront bientôt accès à un éclairage complet. Un élément nécessaire afin de réduire les défis logistiques et exploiter le plein potentiel de cet emplacement.

Réservés aux différentes ligues d’ultimate frisbee lors de la saison estivale depuis quelques années, les terrains ont subi plusieurs transformations pour répondre aux critères de la Ligue Ultimate Val-d’Or (LUVO), dont une opération d’agrandissement pour y ajouter une surface gazonnée de plus.

La compagnie Éric Électrique sera chargée de l’installation des appareils d’éclairage, qui devraient être prêts vers la fin de l’été ou le début de l’automne. L’initiative est évaluée à un coût d’environ 364 000$. La LUVO s’impliquera dans le financement, via un montant de 100 000$ ramassés dans la communauté.

«Par les années passées, nos horaires nous permettaient de jouer tout l’été. Or, rendu à la fin du mois de juillet, on devait reculer nos matchs de 30 minutes à cause de la noirceur. Avec l’éclairage, on va avoir un horaire plus fixe. On a déjà calculé qu’on allait avoir 700 joueurs juniors et seniors qui vont jouer conjointement à des plages horaires différentes. Ça amène de la stabilité et de la simplicité», explique le secrétaire de la LUVO, Jonathan Fournier.

Transition de lieu

Être capable d’utiliser les terrains de l’école Saint-Joseph à pleine capacité évitera également à la LUVO de monopoliser d’autres emplacements lors de sa saison vers sa saison hivernale.

«On termine le volet estival vers la mi-août. Avant d’entrer au Centre multisports Fournier, on fait une petite transition vers le terrain synthétique de la Polyvalente Le Carrefour. Souvent, il y a encore des matchs de soccer qui se jouent là parce que c’est le seul endroit avec un éclairage. On n’aura plus besoin de faire cette transition», indique M. Fournier.