Collecte : une première campagne de recrutement réussie pour la MRCVO

Publié le 17 août 2022 (Mis à jour le 29 avr. 2025)
Lecture : 2 minutes

Pierre-Olivier Poulin

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ENVIRONNEMENT – Aux prises avec un manque important d’employés dans son département de collecte et de l’environnement, la MRC de La Vallée-de-l’Or pourra mieux respirer dans les prochains mois. Grâce à une campagne de recrutement à l’international, six nouveaux employés arriveront en renfort pour maintenir un service optimal.

Faisant face à des problèmes de logistique et d’horaire en raison de la réduction de leurs effectifs, l’organisme s’attend à ce que les nouveaux travailleurs arrivent dans les prochains mois, suivant l’avancée du processus chez le ministère de l’Immigration.

Cette première initiative qui confirme quatre employés affectés à la collecte et deux autres à l’écocentre pourrait mener vers d’autres projets.

«On fait affaire avec Québec International pour faire du recrutement, via un agent sur place. On fait passer des entrevues d’équipe, ici, et on fait des sélections. Il y a certains critères à respecter, car ça prend une bonne capacité physique pour faire ces travaux», affirme le préfet, Martin Ferron

«On avait déjà commencé du recrutement à l’international, mais pour des métiers spécialisés. Ceux qui étaient non spécialisés n’étaient pas sur la liste des priorités, donc on ne pouvait pas avoir un traitement accéléré. Le gouvernement a accéléré le processus dans certains domaines, donc on pouvait recruter tout de suite, au lieu d’attendre deux ou trois ans», complète celui qui occupe la fonction de maire de Malartic.

Un camion robotisé acquis

La MRCVO a poursuivi la modernisation de sa flotte de véhicules de collecte. Lors de sa dernière réunion de ce mercredi, le conseil des maires de La Vallée-de-L’Or a entériné l’achat d’un nouveau camion robotisé. Utilisé davantage pour les secteurs ruraux du territoire, ce nouvel achat permettra aux effectifs humains de concentrer ses énergies sur les portions urbaines de la MRCVO.

Lorsque celle-ci avait amorcé ce projet, Martin Ferron parlait d’un investissement qui pourrait se compter entre 300 000$ et 400 000$.

«Il y aura toujours des camions avec des travailleurs à l’arrière, car on a besoin d’eux dans les ruelles des secteurs commerciaux», mentionne au passage, M. Ferron.