La Sécurité débarque à Rouyn-Noranda

Publié le 23 août 2023 (Mis à jour le 29 avr. 2025)
Lecture : 2 minutes

Chloe Pronovost

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Après avoir assuré le party pré-FME et avoir participé à un show caché l’an dernier, le groupe éclaté La Sécurité est de retour pour la 21e édition de cette célébration de la musique émergente à Rouyn-Noranda.

Le groupe La Sécurité est composé d’artistes multidisciplinaires appartenant à d’autres projets musicaux solos ou en groupe tel que Choses sauvages. Dans ce projet, les musiciens explorent de nouvelles avenues de leur talent. Pour sa part, Éliane Viens-Synnott, qui assure normalement exclusivement la batterie, est la chanteuse principale du groupe et joue également aux claviers.

« On a tous d’autres projets musicaux. Cette collaboration était au départ juste un projet de passions artistiques qui a fait boule de neige et qui a pris plus d’élan qu’on le pensait et plus rapidement qu’on le pensait aussi », précise la chanteuse.

L’an dernier, les festivaliers de Montréal à Rouyn-Noranda, ont pu découvrir ce projet qui en était à ses premiers balbutiements au party pré-FME s’étant déroulé au Bar Spectacle l’Escogriffe de Montréal ainsi que lors d’un show caché sur le toit du Passion Bronzage de la rue Perreault à Rouyn-Noranda.

« C’était un peu bizarre d’être aussi loin des gens sur le toit d’un immeuble. C’était une expérience unique et on a reçu d’excellents retours du public. C’était vraiment dans les débuts du projet, c’était probablement notre 3e show que l’on faisait. C’est drôle, parce que ça fait juste un an, mais il y a tellement de choses qui se sont passées depuis. »

Parmi les nouveautés depuis l’an dernier, on parle notamment de la parution d’un premier album intitulé Stay Safe! sorti le 16 juin dernier. Pour leur performance nocturne du 1er septembre au Diable rond, le groupe promet une soirée dynamique.

« Notre show ça déménage, ça fait danser le public. On donne beaucoup d’énergie sur scène et les gens le reçoivent dans la salle. On est vraiment dans l’esprit punk sans en faire un pastiche. On lâche notre fou », ajoute Éliane.