Les Foreurs et les Huskies maintenant membres d’une nouvelle LHJMQ

  • Publié le 15 déc. 2023 (Mis à jour le 29 avr. 2025)
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Pierre-Olivier Poulin

HOCKEY JUNIOR – La LHJMQ est morte, vive la LHJMQ ! En fait, pas tout à fait. Le bureau des gouverneurs du circuit Cecchini a voté à l’unanimité pour une modification du nom, jeudi après-midi, pour une meilleure représentation et inclusion de ses marchés. 

Connu sous le nom de la Ligue de hockey junior majeur du Québec depuis le début des années 1970, le circuit prendra désormais le nom de Ligue de hockey junior Maritimes Québec. Un changement qui permet de garder le même acronyme connu des partisans, tout en faisant une place aux différentes équipes des provinces maritimes, qui composent le tiers des franchises. 

Un nouveau logo pour désigner l’appellation anglophone de la ligue (QMJHL) a aussi été créé en marge de cette décision. 

«Reconnaître la contribution de nos six franchises basées dans les provinces Maritimes et leur rôle dans la croissance de la Ligue était d’une importance capitale à mes yeux depuis mon entrée en poste comme commissaire. Par respect pour nos équipes dans les Maritimes et leurs partisans c’était prioritaire pour moi, dès mon entrée en fonction, de les inclure dans la désignation du circuit. Ce fut une décision unanime de la part du bureau des membres», admet le commissaire, Mario Cecchini. 

La première percée de la LHJMQ dans les Maritimes est arrivée en 1994 avec la création des Mooseheads d’Halifax. L’année suivante, les Alpines (devenu les Wildcats) de Moncton ont fait leur apparition. S’en suivent le déménagement des Prédateurs de Granby pour devenir les Screaming Eagles du Cap-Breton (1997), celui du Titan de Laval vers Bathurst (1998) et le transfert du Rocket de Montréal pour devenir le Rocket de l’Île-du-Prince-Édouard, aujourd’hui les Islanders de Charlottetown (2003). Les Sea Dogs de Saint-Jean complètent le portrait actuel, via une expansion, en 2005.  

Les Fog Devils de St. John’s avaient suivi l’expansion de 2005, mais ont quitté Terre-Neuve-et-Labrador trois ans plus tard, pour éventuellement devenir l’actuelle mouture de l’Armada de Blainville-Boisbriand. 

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