Thomas Ariell au Festival international de la chanson de Granby

  • Publié le 23 juill. 2025 (Mis à jour le 29 juill. 2025)
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Crédit photo : Gracieuseté
Crédit photo : Gracieuseté

L’auteur-compositeur-interprète de Palmarolle Thomas Ariell fait partie des demi-finalistes du prestigieux Grand Concours Hydro-Québec, présenté dans le cadre du Festival international de la chanson de Granby (FICG), du 14 au 24 août. 

Dans quelques semaines, Thomas Ariell s’apprête à représenter sa région sur l’une des scènes les plus prestigieuses de la chanson francophone en Amérique du Nord, dans le cadre du Festival international de la chanson de Granby (FICG). 

« C’est l’un des événements musicaux les plus reconnus au Québec. J’ai été très honoré d’être sélectionné. Je compte profiter pleinement de l’expérience, m’amuser et rester le plus authentique possible », confie l’auteur-compositeur-interprète. Ayant découvert la musique dès son plus jeune âge, Thomas Ariell souligne avoir franchi un cap important en 2023. 

« J’ai toujours aimé chanter, mais c’est vraiment en 2023 que j’ai décidé de me lancer officiellement. J’ai commencé à écrire mes propres chansons et depuis, je fais des spectacles et je poursuis cette voie avec passion », explique-t-il. 

Être choisi parmi les demi-finalistes du Grand Concours Hydro-Québec est pour lui bien plus qu’un accomplissement : « C’est une immense reconnaissance, précise-t-il. Le FICG, c’est un pilier de la chanson francophone. Savoir que mon travail résonne suffisamment pour m’amener jusque-là, c’est très motivant. »

Des projets en marche 

Loin de se reposer sur ses lauriers, Thomas est en pleine création. « Je travaille sur mon deuxième EP, prévu pour 2026. Je pense que c’est important de rester en mouvement. » Par ailleurs, pour son passage prévu au FICG, Thomas aimerait que les gens voient quelqu’un qui chante vrai, qui raconte ce qu’il vit sans filtre.  

Pour l’artiste, le FICG est bien plus qu’un concours. « C’est un laboratoire créatif, une école, une communauté. J’ai hâte de rencontrer d’autres artistes, d’apprendre, de me faire challenger aussi. Artistiquement, c’est l’occasion de pousser mes limites. Humainement, c’est un partage rare. » 

Quant à l’après-Granby, il garde les deux pieds sur terre, tout en nourrissant de grandes aspirations. « Je vois le FICG comme un tremplin, pas une finalité. J’espère que ça m’ouvrira des portes, mais surtout que ça renforcera ma démarche artistique», conclut-il. 

 

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